Realm of the Sidhe

Diary of your sweet faery

jeudi, octobre 21, 2004

Je craque de partout...

C'est vraiment étrange, que je sois revenue chez mes parents quelques jours pour passer un concours et que je me retrouve à faire finalement tout autre chose. Je ne suis évidemment pas mécontente d'avoir des choses à faire, je pense que l'ennui serait venu bien vite sinon.
Hier, j'ai lu et feuilleté une quinzaine de bouquins sur la numérisation et la virtualité de l'entreprise, sur le couple groupware / workflow et sur les protocoles de sécurisation d'un Intranet (celui-là était définitivement trop technique pour moi, j'ai rien compris...).
Et ce matin, je me suis levée après une courte nuit (courte car j'ai profité du sommeil de mes parents pour aller mettre mon nez dans les photos de famille, histoire de t'en rapporter quelques-unes qui puissent te faire rêver et égayer ton coeur à la pensée que peut-être nos enfants me ressembleront un peu) pour aller chez l'ostéopathe de mon papa, car le rendez-vous était à 8h30 (tu imagines le calvaire pour moi qui suis une si grande lève-tard). Le docteur s'est occupé de mon dos, de mes jambes et de mes épaules. Si tu savais comme c'est terrifiant de laisser quelqu'un "plier" ton dos et entendre craquer les vertèbres, il faut toujours que je respire bien à fond et que je me détende pour ne pas me laisser submerger par l'impression qu'on est en train de briser ma colonne. 6 vertèbres étaient déplacées (1 lombaires, 3 dorsales et 2 cervicales) et ont été remises à leur place initiale, et la rotation du bassin a été corrigée. J'ai ordre de ne pas trop bouger, pendant les 2 ou 3 prochains jours, histoire que mon dos se repose et reste bien droit. Et il est probable que j'ai à la fois beaucoup moins mal au dos et beaucoup moins mal à la jambe pendant les prochaines semaines, voire les prochains mois. C'est plutôt une bonne nouvelle, non ?
Après les boîtes à photos, je vais aller fouiller les albums de famille et peut-être m'offrir une petite lecture de Tom Clancy avec une cigarette dans la petite brise de mon jardin. Autant hier, la pluie et l'orage ont lavé les sols, les arbres et les voitures ; autant ce matin, et même ce début d'après-midi ont une saveur qui évoque presque un été indien.

Vivement demain soir, je serais de retour à la maison.
Je t'aime.