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C'est l'heure qu'il est, maintenant. J'ai reçu ton SMS, tu dois encore traîner dans ton bain à lire ce Clancy que tu as tant de mal à finir. De mon côté, tu me manques. Vraiment beaucoup.
J'ai fait un peu de vélo d'appartement, j'ai perdu 80 calories mais je n'avais pas le droit de faire d'efforts pendant 48 heures depuis hier - le délai n'étant pas prescrit, je me suis arrêtée malgré les encouragements de mon père à muscler mes cuisses et mes mollets. Le Pilates de hier matin me fait mal aux muscles des fessiers. J'avoue en rougissant que j'adorerais un petit massage de tes mains douces et expertes juste à cet endroit.
Je ne fais pas grand chose, je ne lis pas grand chose, je ne reste même pas beaucoup devant l'ordinateur parce que mon père fait plein de bêtises avec (en gros, on se retrouve avec plus de 50 fichiers "suspects", pour ne pas dire des virus, TOUS les jours...). Je me repose tranquillement et j'avoue que ça me fait beaucoup de bien.
Je dois voir Marlène lundi, on va déjeuner aux Champs Elysées, probablement accompagnées avec Esther, et ça fait si longtemps que je n'ai vu personne du Celsa (je n'arrive pas à savoir quel jour ils passent en fin de soirée à Questions pour un Champion, ça se trouve ils sont déjà passés, ça m'énerve, je voulais voir pour me moquer un peu... ou pas, s'ils sont bons...) que je serais presque contente qu'elle se joigne à nous. Ca va faire du bien de pouvoir parler avec d'autres gens, surtout de trucs de filles. On se tirera certainement les cartes chacune son tour (sauf Marlène qui ne sait pas le faire, faut tout faire pour elle, lol) et je saurais alors peut-être ce que l'avenir me réserve. Encore que je ne me fais pas des masses d'illusions, à part mon grand amour avec toi, je n'ai pas prévu de trucs fantastiques mais sait-on jamais ?

Je pense à toi, sans arrêt... Je t'aime.