Bientôt à la maison
Mon coeur, c'est après cette semaine encore loin de toi que je ressens combien tu me manques. C'est vrai, c'était fantastique de retrouver Claire et d'avoir de vraies discussions avec elle. Je lui ai même tiré les cartes sur une question semi-pro (à savoir, sera-t-elle un jour publiée... et les cartes ont dit texto : oui, c'est ta destinée, mais il faut que tu bosses et que tu bouges ton cul et alors tu récolteras non pas des lauriers mais des pépettes... Vé-ri-di-que !!!). Mais qu'est-ce que tu me manques !
Mon train ne part que vers 16h cette après-midi et j'ai l'impression que la journée fait exprès de traîner en longueur pour m'empêcher de partir. Ou alors c'est le fait que je n'ai pas dormi de la nuit qui me donne cette sensation que le temps est plus long que d'habitude. J'ai hâte d'être enfin à la maison pour te faire un méga gros câlin et me pelotonner contre ton corps tout chaud dans notre lit douillet.
Comme tu as dû le voir, j'ai joué à WoW et je t'ai envoyé quelques trucs plutôt sympa, et merci de tout coeur pour ton écureuil mécanique qui m'amuse vachement quand je le sors de sa boîte.
Je te raconterais une partie des potins qui courent ici entre les deux appartements de la rue de l'Abondance, c'est assez rigolo (enfin pas dans le sens comique, mais dans le sens bizarre). J'attends que tout le monde se réveille après avoir discuté une bonne partie de la nuit avec Téré, mais il est encore si tôt (08h57) et ils se sont couchés si tard que j'ai peur qu'ils n'émergent pas avant plusieurs heures. Pas grave, je regarderais la télé ou bien il doit y avoir un film que je n'ai pas encore vu (ou même déjà vu) que je pourrais mater pendant l'attente.
Tu me manques. Beaucoup beaucoup. Grave.
Je t'aime.
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