Realm of the Sidhe

Diary of your sweet faery

mercredi, septembre 21, 2005

Le blues de la contrôlette...

Mon chéri d'Amour, voilà des jours que je ne t'ai pas écrit un petit poste pour te surprendre entre nos conversations téléphoniques quotidiennes. Je m'en voudrais presque...
Ca va faire trois semaines qu'on ne s'est pas vus et depuis ce matin, j'avoue que je commence à avoir un peu le blues et à souhaiter d'avoir des pouvoirs magiques qui me permettrait d'accélérer le temps pour être plus vite à vendredi soir et profiter de toi pendant ce week-end. Ne t'inquiète quand même pas, parce que sinon j'ai globalement le moral et j'essaie de sortir de ma routine cocooning pour faire du sport, bouger et aller vers les autres (se faire des amis et entretenir son cercle de relations de travail revient ici un peu au même). Pour le sport, la réunion d'information se tient demain soir, donc je ne sais pas trop vers quelle heure je vais rentrer, probablement pas trop tard, et je t'enverrais un SMS pour que tu ne sois pas trop anxieux. Et en rentrant de Bruxelles, je suppose que ma prochaine attente programmée sera celle de salaire qui j'espère ne va pas tarder à arriver.
Ce soir, je devais aller boire un café avec les filles que j'ai rencontrées (Martine, dont je t'ai déjà parlé, Leila, Emilie et Adeline, et peut-être d'autres mais je ne connais pas encore leurs noms), mais ça a été annulé à la dernière minute vu que Leila avait la réunion pour le club journalisme et Adeline s'est fait plein d'ampoules pendant la randonnée pédestre de ce matin et qu'elle tenait à peine debout, la pauvre. Quant à moi, ne m'étant inscrite ni au journalisme (pas très envie), ni à la randonnée (pas les sous), je suis doucement rentrée chez moi où je me prépare à faire la vaisselle, vider la poubelle et plier mon linge. Comme tu peux le constater, une soirée passionnante en perspective, lol.
Je remarque par contre que quand on vit seul, la télévision manque terriblement. Je passe presque tout mon temps devant l'ordinateur ou à lire des bouquins, mais mon appartement est d'un calme presque terrifiant ; le silence est omniprésent et ma collection de CD pas assez fournie pour le remplir de manière satisfaisante.

Je pense très fort à toi en attendant ce soir où je te parlerais et te verrais et surtout en patientant pour vendredi où je pourrais enfin te tenir serré dans mes bras.
Je t'aime, mon coeur.