Realm of the Sidhe

Diary of your sweet faery

mercredi, février 04, 2004

Mercredi, après mon partiel...

Je sais pas si tu as remarqué l'effort phénoménal que je fais pour que les titres de mes posts soient cohérents. C'est un effort monstrueux. J'espère que tu es reconnaissant, parce que tu pourrais être complètement perdu face à l'immensité de ma prose bloggesque, te noyant au milieu de détails et essayant vainement de t'accrocher à des bouts de phrase pêle-mêle parlant de toi, de moi, de notre couple, de mon amour, de mes partiels, de mes progrès au go, de mon séjour à Saint-Malo et Dieu seul sait quoi d'autre (enfin façon de parler, parce qu'il n'existe pas et s'il existe, il n'a de toute manière aucune idée de ce dont je veux parler...).

Tout ça pour dire, le fameux partiel de 4 heures de droit du travail de ce matin, et bien c'était de la gnognotte ! J'ai terminé l'étude de cas en à peine 1h30 et là tu pourrais me dire quelque chose du genre "c'est parce que tu es merveilleusement douée, ma chérie, je contemple béat l'immensité de ton intelligence qui n'a d'égale que ta beauté fatale et superbe..." ou approximativement... Mais je ne suis pas la première à être sortie, loin de là. Enfin bon, c'est aussi parce que j'ai traîné un peu en rêvassant devant ma feuille parce que j'étais fatiguée vu le peu de sommeil que j'ai eu cette nuit (moins de 5 heures, pas très bon pour moi... mais j'ai adoré passer du temps au téléphone avec toi, ça me donne l'impression presque de t'avoir près de moi). En gros, le sujet était vraiment assez facile et je me suis bien débrouillée.
Par contre, je n'ai toujours pas rédigé cette étude ethnologique d'une visite d'entreprise dans le cadre d'un entretien de recrutement pour un stage et j'avoue que ça me traumatise un peu, parce que je suis rentrée à la maison pour travailler (je n'ai pas vu l'intérêt de rester au Celsa, en plus la salle informatique était bondée) et c'est pour aujourd'hui et j'ai promis à Martine (la responsable administrative de mon DESS) que je lui enverrais par mail cet après-midi. Et j'ai foncièrement pas envie de le faire. Cétrémal... Bien entendu, je le ferais quand même, parce que c'est un devoir qui compte pour les partiels. Mais ça m'ennuie...

Allez, je suis partie, je m'y mets (à travailler... je précise au cas où ça ne serait pas complètement évident, parce que je pourrais aussi me mettre à faire une pause, ce que je ne manquerais pas de faire dans pas longtemps à mon avis, mais j'éviterais de t'en faire part, parce que tu pourrais croire que je ne travaille jamais et que je ne suis pas sérieuse...).

Je t'aime, mon bébé .