Realm of the Sidhe

Diary of your sweet faery

vendredi, octobre 29, 2004

Anniversaire

Eh oui, un petit oubli... Ce 24 octobre, c'était le premier anniversaire de mon blog. Joyeux anniversaire alors :)
Et une tendre et douce pensée pour toi, mon Phil chéri, parce que ce blog est pour toi.
Je t'aime.

About technology...

You are .inf You are informative. When you are gone you make life very difficult for others.
Which File Extension are You?


You are Palm OS. Punctual, straightforward and very useful.  Your mother wants you to do more with your life like your cousin Wince, but you're happy with who you are.
Which OS are You?

mardi, octobre 26, 2004

Qu'est-ce qu'on ferait pas pour être diplômée...

Même s'il n'y paraît pas comme ça, ça fait bien deux jours (enfin, une journée et demie, parce qu'il est à peine midi et bientôt l'heure de ma super série anglaise que tu n'aimes pas, les Bad Girls en prison et tout...) que je travaille du matin au soir (bon d'accord du matin à la fin d'après-midi, parce qu'après 18h30, je ne suis plus bonne à grand chose). Et mine de rien, le boulot commence à avancer de façon satisfaisante, voire même plus vite que ce que j'aurais pensé à première vue. Je sais, au lieu de penser pendant des semaines, j'aurais mieux fait de travailler et j'aurais déjà fini. Je me fais la morale toute seule parce que tu n'es pas du genre à le faire, sauf quand je te demande et ça rend pas top, lol.
- Chéri, ça fait des semaines que je ne fais rien, il faut absolument que tu me fasses la morale !
- Euh, tu es sûre ? Parce que je ne veux pas te brusquer, c'est pas à moi de te dire ce que tu dois faire...
- Oui, mais là, c'est pour mon bien, vas-y.
- Ok. Tu sais, ma chérie, c'est important ton mémoire, alors ce serait bien que tu travailles. Tu as avancé ? Oui ? Eh ben, tu vois, j'avais pas besoin de te faire la morale...

Je sais, je me moque, mais j'apprécie beaucoup ta façon délicate de ne pas me culpabiliser par rapport à (1) mon manque de volonté quant à mon travail, (2) mon manque de travail découlant de mon manque de volonté et (3) ma volonté que tu me fasses la morale (ce qui, il est vrai, n'est pas le rôle de mon homme) pour me pousser à travailler.
En fait, tu es quelqu'un de vraiment formidable, parce que même sans morale et sans volonté, je me suis mise à travailler pour rendre ce mémoire dans les temps et en faire quelque chose d'à peu près potable, juste pour que tu sois fier de moi. Même si factuellement c'est le contraire, je le fais surtout parce que je ne veux pas que tu sois déçu par moi, ce que tu ne manquerais pas d'être si je ne le faisais pas, même si tu serais bien trop délicat pour me le dire (que tu serais déçu). Tout cela étant bien sûr les raisons personnelles qui me poussent à rendre mon mémoire bouclé dans les temps. L'autre raison, c'est que je veux être diplômée et me dire, enfin, que je ne suis plus "étudiante", finies les études et vive le début d'une vraie vie d'adulte. Qui sera probablement pas toujours facile, mais définitivement avec toi, ton Amour, ta délicatesse, moi, ma patience et ma "beauté fatale" (je me demande d'où tu sors ça), ce sera merveilleux.

jeudi, octobre 21, 2004

Mini soirée...

J'ai reçu ton mail juste après avoir regardé "Ce que veulent les femmes" avec ma maman qui l'a trouvé vraiment amusant (moi aussi, même si je l'avais déjà vu). Je ne suis pas sortie avec Marlène ce soir, parce qu'après mon rendez-vous ce matin chez l'ostéopathe, ça n'aurait pas du tout été raisonnable, et parce que c'est le seul moment que j'ai trouvé pour aller faire les courses avec ma mère. J'ai 3 nouveaux pulls (un rouge col en V, un rose col roulé large et un violet col roulé tout simple), 3 paires de chaussettes (c'est toujours utile), des collants noirs opaques et de nouvelles culottes Dim, que j'en suis certaine tu vas adorer. Bien sûr, j'ai appelé Marlène malgré tout, mais c'est sa mère qui a répondu car elle rentre super tard de son stage chez Chanel (genre ce soir, 21h30) et j'ai laissé un message sur son portable pour lui dire que j'étais dispo à midi demain pour manger avec elle, mais que je comprendrais qu'elle ne puisse pas. De toute façon, je reviendrais aussi le mois prochain pour la préadmissibilité du concours de cadre B.
Je n'ai pas eu le temps de faire les vieux albums de photos, ceux dans lesquels je suis bébé, et j'ai quelques scrupules, je l'avoue, à retirer des pages les photos que mes parents ont collées avec tant de soin. Mais j'ai déjà un sacré tas de photos et je pense avoir de quoi ravir autant tes yeux que ton coeur.

Je t'aime, mon Amour. A demain.

Je craque de partout...

C'est vraiment étrange, que je sois revenue chez mes parents quelques jours pour passer un concours et que je me retrouve à faire finalement tout autre chose. Je ne suis évidemment pas mécontente d'avoir des choses à faire, je pense que l'ennui serait venu bien vite sinon.
Hier, j'ai lu et feuilleté une quinzaine de bouquins sur la numérisation et la virtualité de l'entreprise, sur le couple groupware / workflow et sur les protocoles de sécurisation d'un Intranet (celui-là était définitivement trop technique pour moi, j'ai rien compris...).
Et ce matin, je me suis levée après une courte nuit (courte car j'ai profité du sommeil de mes parents pour aller mettre mon nez dans les photos de famille, histoire de t'en rapporter quelques-unes qui puissent te faire rêver et égayer ton coeur à la pensée que peut-être nos enfants me ressembleront un peu) pour aller chez l'ostéopathe de mon papa, car le rendez-vous était à 8h30 (tu imagines le calvaire pour moi qui suis une si grande lève-tard). Le docteur s'est occupé de mon dos, de mes jambes et de mes épaules. Si tu savais comme c'est terrifiant de laisser quelqu'un "plier" ton dos et entendre craquer les vertèbres, il faut toujours que je respire bien à fond et que je me détende pour ne pas me laisser submerger par l'impression qu'on est en train de briser ma colonne. 6 vertèbres étaient déplacées (1 lombaires, 3 dorsales et 2 cervicales) et ont été remises à leur place initiale, et la rotation du bassin a été corrigée. J'ai ordre de ne pas trop bouger, pendant les 2 ou 3 prochains jours, histoire que mon dos se repose et reste bien droit. Et il est probable que j'ai à la fois beaucoup moins mal au dos et beaucoup moins mal à la jambe pendant les prochaines semaines, voire les prochains mois. C'est plutôt une bonne nouvelle, non ?
Après les boîtes à photos, je vais aller fouiller les albums de famille et peut-être m'offrir une petite lecture de Tom Clancy avec une cigarette dans la petite brise de mon jardin. Autant hier, la pluie et l'orage ont lavé les sols, les arbres et les voitures ; autant ce matin, et même ce début d'après-midi ont une saveur qui évoque presque un été indien.

Vivement demain soir, je serais de retour à la maison.
Je t'aime.

vendredi, octobre 15, 2004

Angoisse et stress

Je sais parfaitement que j'ai complètement tort de stresser pour cette histoire de concours, mais en ce moment, ma vie s'est ralentie et tourne tout autour de toi, mon coeur. J'aime vivre comme ça. Malgré tout, quelque chose me manque, une activité régulière que je serais forcée, obligée de faire, pour me remettre à bouger au lieu de végéter et dormir tard. J'ai l'impression que ma volonté m'a abandonnée et mes révisions ont été bien maigres et tout à fait partielles. Mon mémoire non plus n'avance pas. Et je m'angoisse toute seule dans mon coin. Bien sûr, je sais que tu es là pour me soutenir... Mais je n'avance pas plus...
C'est pour ça que je suis souvent sur les nerfs, je m'énerve pour un rien. Pardon si tu as l'impression que c'est contre toi, mais ce n'est pas le cas. Je m'énerve surtout contre moi-même. Il faut que je reprenne en main le cours de ma vie mais ce n'est pas facile. C'est si bon de se laisser flotter doucement, t'embrasser endormie le matin, t'accueillir le soir, avouer de temps à autre que je n'ai rien fait de la journée...
Je t'aime, mon bébé et promis, je vais faire un effort gigantesque pour me remettre sur les rails, et travailler d'arrache-pied pour rattraper mon retard sur mon mémoire et te rendre fier de moi, pour une raison réelle et matérielle et pas simplement parce que tu m'aimes comme je suis. Je t'aime.